Le libéralisme en Aldarnor est l'histoire d'une synthèse réussie entre la volonté de libérer les énergies et les consciences tout en justifiant la nécessité d'une monarchie stable et pérenne pour construire un système viable.
L'objectif du libéralisme - le projet à long terme - le dogme :
Les libéraux considèrent que la liberté, tant politique qu'économique, est la clé de la satisfaction optimale des hommes. Une société idéale est une société qui obéit à la maxime « Autant d’État que nécessaire, aussi peu d’État que possible » car la liberté qui est le propre de l'homme et ce n'est qu'au sein d'une société libérée que l'homme pourra s'accomplir. Les libéraux prônent des valeurs de responsabilité individuelle et de mérite.
Pour autant, les libéraux sont favorables à la présence d'une puissance englobante capable de réguler la société - car une société est intenable sans la présence de règles coercitives - et de résoudre les imperfections qui naissent de l'application du paradigme libéral. En ce sens, le Roi et son administration sont justifiés par la nécessité d'une base stable sur laquelle construire le système libéral : point de liberté sans confiance et point de confiance sans équilibre (la connaissance du futur est essentielle pour que l'homme libre soit capable de faire des choix raisonnables et viables). Les politiques sociales sont également justifiées par la nécessité de corriger les imperfections du libéralisme : le peuple doit être protégé et, surtout, éduqué afin d'user de sa libération de manière réfléchie.
D'un point de vue économique, les libéraux voient dans l'industrialisation un processus prometteur, capable d'améliorer le niveau de vie des travailleurs. Ils y voient également une formidable opportunité de progrès en rationalisant la production et en mettant en oeuvre des possibilités d'innovations toujours plus nombreuses. L'économie libérale répond à la logique sociale : "autant de règles que nécessaires, aussi peu de règles que possibles". Il faut libérer les forces productives des corporatismes et usages, réduire la fiscalité qui pèse sur la production.
Cependant, ils sont également sensibles à la cause des travailleurs et souhaitent également que les deux valeurs fondamentales du libéralisme aldarnorin - responsabilité et mérite - puissent les protéger : ils appellent donc à ce que les travailleurs soient associer aux décisions productives et à ce que l'autogestion soit favorisée et pensent que les travailleurs doivent pouvoir évoluer selon leur mérite dans la hiérarchie.
Les moyens - le projet à court terme :
- mettre l'accent sur l'éducation : instaurer l'enseignement obligatoire et un diplôme à l'âge de 13 ans
- ouvrir progressivement le suffrage au peuple et, dès maintenant, aux titulaires du diplôme acquis suite à l'enseignement obligatoire
- mettre fin aux corporations informels et usages, installer des tribunaux de commerce seuls compétents
- limiter les dépenses de l'État, même en situation d'excédent budgétaire, redistribuer les excédents pour la recherche et l'innovation
- simplifier la fiscalité : réduire la fiscalité productive, lisser la fiscalité entre le peuple, la bourgeoisie, la Noblesse
- ouvrir les ordres aux plus méritants, favoriser l'ascension sociale
- ouvrir le commerce international, favoriser la paix mondiale, porter notre modèle et nos valeurs au sein du micromonde
Responsabilité et Mérite
L'objectif du libéralisme - le projet à long terme - le dogme :
Les libéraux considèrent que la liberté, tant politique qu'économique, est la clé de la satisfaction optimale des hommes. Une société idéale est une société qui obéit à la maxime « Autant d’État que nécessaire, aussi peu d’État que possible » car la liberté qui est le propre de l'homme et ce n'est qu'au sein d'une société libérée que l'homme pourra s'accomplir. Les libéraux prônent des valeurs de responsabilité individuelle et de mérite.
Pour autant, les libéraux sont favorables à la présence d'une puissance englobante capable de réguler la société - car une société est intenable sans la présence de règles coercitives - et de résoudre les imperfections qui naissent de l'application du paradigme libéral. En ce sens, le Roi et son administration sont justifiés par la nécessité d'une base stable sur laquelle construire le système libéral : point de liberté sans confiance et point de confiance sans équilibre (la connaissance du futur est essentielle pour que l'homme libre soit capable de faire des choix raisonnables et viables). Les politiques sociales sont également justifiées par la nécessité de corriger les imperfections du libéralisme : le peuple doit être protégé et, surtout, éduqué afin d'user de sa libération de manière réfléchie.
D'un point de vue économique, les libéraux voient dans l'industrialisation un processus prometteur, capable d'améliorer le niveau de vie des travailleurs. Ils y voient également une formidable opportunité de progrès en rationalisant la production et en mettant en oeuvre des possibilités d'innovations toujours plus nombreuses. L'économie libérale répond à la logique sociale : "autant de règles que nécessaires, aussi peu de règles que possibles". Il faut libérer les forces productives des corporatismes et usages, réduire la fiscalité qui pèse sur la production.
Cependant, ils sont également sensibles à la cause des travailleurs et souhaitent également que les deux valeurs fondamentales du libéralisme aldarnorin - responsabilité et mérite - puissent les protéger : ils appellent donc à ce que les travailleurs soient associer aux décisions productives et à ce que l'autogestion soit favorisée et pensent que les travailleurs doivent pouvoir évoluer selon leur mérite dans la hiérarchie.
Les moyens - le projet à court terme :
- mettre l'accent sur l'éducation : instaurer l'enseignement obligatoire et un diplôme à l'âge de 13 ans
- ouvrir progressivement le suffrage au peuple et, dès maintenant, aux titulaires du diplôme acquis suite à l'enseignement obligatoire
- mettre fin aux corporations informels et usages, installer des tribunaux de commerce seuls compétents
- limiter les dépenses de l'État, même en situation d'excédent budgétaire, redistribuer les excédents pour la recherche et l'innovation
- simplifier la fiscalité : réduire la fiscalité productive, lisser la fiscalité entre le peuple, la bourgeoisie, la Noblesse
- ouvrir les ordres aux plus méritants, favoriser l'ascension sociale
- ouvrir le commerce international, favoriser la paix mondiale, porter notre modèle et nos valeurs au sein du micromonde